Le compte à rebours est commencé!
Voici quelques astuces pour mieux apprivoiser le stress de la rentrée!
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Ne manquez pas ça!
Revenez nous voir!
La TÉO vous remercie de faire partie de ce projet pilote.
Bonne semaine 5!

D’identifier votre mammouth!
Sonia Lupien utilise souvent la métaphore du mammouth pour illustrer le stress : ce mammouth représente une menace perçue par notre cerveau, qui déclenche une réaction de survie — fuir, combattre ou figer.

La menace perçue ne l’est peut-être plus!
Prendre un moment pour respirer, réfléchir ou se recentrer permet au cerveau rationnel (le cortex préfrontal) de reprendre le dessus sur le cerveau émotionnel (l’amygdale).

Le réflexe vous rend-il perplexe?
Sous stress, on agit souvent par réflexe. Mais les décisions prises dans l’urgence ne sont pas toujours les meilleures. Prendre le temps permet de : 1.Évaluer les options 2.Prioriser les actions 3.Réduire les erreurs.

Prendre le temps en nature pour mieux gérer les temps durs!
Le stress chronique peut nuire à la santé (sommeil, digestion, immunité, humeur). S’accorder des pauses aide à réguler les hormones de stress comme le cortisol. Vous en valez plus que la peine! Planifiez au moins 5 minutes 2x par jour, tous les jours et sans écran, c’est encore plus aidant!

Nommer nos émotions c’est souvent une bonne solution.
Quand on met des mots sur ce que l’on ressent, on active le cortex préfrontal, responsable de la régulation de nos émotions. Attention! Il se développe.

De vivre avec vos tout-petits les émotions, pour soutenir leur régulation.
Les jeunes enfants ne possèdent pas encore les capacités neurologiques, cognitives et langagières suffisantes pou réguler seuls leurs émotions. Les accompagner et les guider, c’est donc les outiller!
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Le stress peut se transmettre… même sans mots.
La neuroscientifique québécoise Sonia Lupien a démontré que le stress peut se transmettre d’une personne à une autre, un phénomène appelé parfois « contagion du stress ».
Quand un adulte stressé entre en contact avec un enfant, même s’il ne dit rien, son corps envoie des signaux non verbaux (voix, posture, expressions faciales) que l’enfant capte — parfois même avant de comprendre le langage verbal.
Chez les tout-petits comme chez les adolescents, ce stress transmis peut s’accumuler et influencer la façon dont ils régulent eux-mêmes leurs émotions.
Lorsqu’un enfant, même un jeune, est exposé de manière répétée à du stress non régulé dans son entourage, cela peut affecter le développement de son cerveau, notamment les régions liées à la mémoire, l’attention et les émotions.
On parle alors d’adversité précoce, un facteur de risque bien documenté pour la santé mentale à long terme.
Ce que vous pouvez faire comme parent :
- Prenez soin de votre propre stress : votre calme est un modèle de régulation pour votre enfant.
- Expliquez vos émotions : dire « Je suis stressé·e, mais je respire et je me calme et ça ira mieux. Il y a des solutions! » enseigne à l’enfant que les émotions se vivent… et se gèrent.
- Créez un climat prévisible et sécurisant : routines, douceur, rires et patience sont de véritables antidotes.